Nouvelle réforme du remboursement des kits en radiologie

A partir du 1er mars 2024 les patients n’auront plus besoin de se procurer en officine les produits de contraste et les cathéters IV pour leurs examens par IRM ou tomodensitométrie. Selon ce nouvel arrêté, les manipulateurs d'électroradiologie et les radiologues vont désormais devoir mettre à disposition des patients des produits de contraste ainsi que des cathéters intraveineux1.

Le choix du cathéter devient alors une question centrale.

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Les besoins pour l’injection en radiologie

Les professionnels de santé peuvent être confrontés à différentes problématiques lors de l’utilisation des CVP (cathéters veineux périphériques) en radiologie, telles que les risques d’exposition au sang, les risques de blessures par piqûre d’aiguille ou encore l’extravasation.

L'extravasation due à des produits de contraste peut se produire lors de l'injection de grands volumes ou de débits rapides par la pompe à perfusion.2

Comme tout autre utilisateur des cathéters veineux périphériques, les manipulateurs d'électroradiologie peuvent également être exposés aux risques de blessures par piqure d’aguille ou aux risques d’AES (accident d’exposition au sang), si le dispositif choisi n’est pas muni d’une technologie de sécurité.

Le choix d'un cathéter IV périphérique approprié

Le cathéter IV périphérique sélectionné doit :

  • Répondre aux protocoles d’examens à haut débit
  • Permettre de choisir le calibre de la canule adapté au capital veineux fragilisé (par exemple, les cathéters de 22 G avec un débit jusqu'à 6,5 ml/sec), tout en conservant la qualité d'image.3
  • Permettre une réduction du mouvement du cathéter dans la veine, pouvant conduire à l'extravasation.4
  • Permettre l'injection automatisée jusqu'à 325 psi.5

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